Chaque année, ce sont des centaines de familles qui se rendent à Bordeaux, et en quête d’un logement décent. Il faut dire que la ville est victime de son succès et enregistre le plus fort taux de demande en ce qui concerne la location ou l’achat de biens. L’immobilier à Bordeaux, c’est une pléthore d’offres qui d’ailleurs à saturent le marché au point où de nouveaux projets fonciers voient le jour dans les périphéries et en Gironde pour combler la demande. Voici un petit état des lieux.
Marché de l’immobilier à Bordeaux : une demande toujours en hausse !
En marge des premières mesures de confinement, plusieurs familles ont décidé de changer de vie et d’environnement pour retrouver un minimum de confort chez eux. Direction Bordeaux ! Avec une bonne agence immobilière, chacun espère pouvoir trouver l’offre qui correspond le mieux à ses aspirations. Sauf que le marché de l’immobilier à Bordeaux reste relativement stable en termes de déséquilibre entre la demande et l’offre.
La première conséquence est qu’une baisse des prix reste impossible. Ce qui est par contre envisageable pour les budgets moyens, c’est d’élargir leur champ de recherche vers les zones périphériques. Et cela ne change presque en rien au confort et à la beauté reconnus à la ville. Les recherches immobilières vers les périphéries sont de plus en plus faciles et les offres tendent à bénéficier d’un bon confort grâce au réseau de tram et de bus qui ne cesse de s’étendre.
Prix de l’immobilier à Bordeaux : quelles perspectives ?
Les prix de l’immobilier à Bordeaux pour ce qui est du centre-ville ont grimpé ces dernières années, mais se sont stabilisés. En comparaison avec l’évolution du marché de l’immobilier en France, le prix au mètre carré médian est bien plus élevé. En Gironde par contre, les prix ne suivent pas la courbe de l’évolution constatée en métropole bordelaise. Pour les appartements neufs, les prix seraient en baisse de 0,3 %, et en légère hausse pour les terrains à bâtir.
Bref, Bordeaux est sans doute la ville de province la plus attractive du pays. C’est la première explication de la hausse des prix de l’immobilier à Bordeaux. Il y a aussi plusieurs autres facteurs tels que les nombreux travaux de rénovation entrepris par les propriétaires immobiliers, la mise en place effective de la ligne LGV Paris-Bordeaux, l’arrivée du tramway, la proximité de la ville avec la côte atlantique, etc.
En 2018 déjà, les prix avaient atteint une croissance record de 10 %. Heureusement, la courbe est redescendue ces derniers mois. Le prix moyen au mètre carré semble stagner autour des 4000 € pour les anciennes constructions. Le climat est propice aux nouvelles acquisitions surtout que l’après-crise sanitaire présage de nouvelles hausses tarifaires sur le marché de l’immobilier à Bordeaux.
Les affaires promettent également pour ce qui concerne la Gironde où un appartement coûte encore moins cher que l’année dernière, pour un écart d’environ 3 %. Il faut donc retenir que la flambée des prix amorcée depuis 2028 et entretenue en 2019 s’est totalement calmée avec une annonce de stabilité des prix autour de 5000 € le mètre carré. Pour autant, il faut toujours craindre un regain d’intérêt des investisseurs, des entreprises et des familles, ce qui aura pour effet de relancer les prix.
Quelles options pour les particuliers aux petits portefeuilles ?
Pour ceux qui souhaitent acquérir un immobilier à Bordeaux et sans grands moyens, il y a toujours la possibilité de déménager dans les quartiers limitrophes ou simplement d’aller en Gironde.
Investir dans les quartiers limitrophes
Au nombre des quartiers limitrophes les plus prisés, le quartier des Chartrons est très convoité. Son cadre de vie agréable, sain et paisible fait de lui une zone totalement plaisante qui attire les acquéreurs en quête d’un meilleur confort de vie. Il en est de même pour les autres quartiers avoisinant le centre-ville bordelais : Mériadeck, Saint-Seurin, Fondaudège, etc. Avec le temps, ces quartiers risquent toutefois de connaître le même sort de hausse des prix de l’immobilier à Bordeaux.
Cap vers le sud ou les quartiers populaires
Il faut remarquer que les quartiers bordelais dits populaires sont effectivement bien moins touchés par la flambée des prix. Par conséquent, ils demeurent bien accessibles aux petits budgets qui ne souhaitent pas se faire conter d’autres aventures bordelaises.
L’investissement locatif dans le quartier Saint-Michel, situé non loin de la gare Saint-Jean est par exemple une bonne option. Le quartier est bien desservi par une gare qui relie la ville aux métropoles parisiennes, à Lille, Toulouse ou Strasbourg.
Rappelons que la capitale girondine connaît également un retour à une situation normale des prix. Les bons plans d’immobilier à Bordeaux peuvent également se retrouver dans les villes satellites. Tout dépend de votre budget, de votre agent immobilier, et du moment où vous vous lancez.